( connaissance avec ma jument le 19/03 )

--->Connaissance <---

l’après-midi:
--Club--

Après m’être occuper de Fly melody toute la matinée, je m’étais diriger à la hâte au club-house pour venir grignoter un déjeuner léger entre midi et deux. Ma nouvelle jument normalement, devait arriver au haras vers 1h30 ce qui ne me laissait guerre beaucoup de temps. Je pris donc un petit sandwich au crudités et un verre de coca-cola au distributeur du bar. Ca cogitait dans ma tête, pleins de questions par rapport à ma nouvelle jument, le nom, son comportement enfin bref… pleins de choses pour bourré l’esprit ! Pour finir, je bouscula Lucy qui entrait dans la salle de club, là je repris mes vrais esprits et m’excusa longuement.Je me précipita hors du club et alla m’assoire sur les barrières de la longue allée du DSH bordé d’arbres magnifiquement bien entretenues. Je regarda ma montre car j’avais l’impression que des heures étaient passés mais non, il n’était qu’1h30, le camion devrait bientôt arriver au haras. J’étais angoissé et joyeuse à la fois ! très excité d’acquérir une nouvelle jument. Je regardais les oiseaux dans les arbres et le vent tournoyer légèrement dans les airs. La vue du haras du haut de ma barrière était magnifique ! on pouvait décerné juste en face de l’allée un grand bâtiment de pierre où se trouvait le club-house, els vestiaires, casiers ainsi que la sellerie, le garde-manger et une grande écurie sur la droite avec des prés et des installations. C’était un endroit merveilleux , j’aidais donc kikoira au haras pour lui faciliter la tâche et il n’y avait pas que moi, pounette aussi avait le même poste que moi. Je regarda ma montre une nouvelle fois et elle m’annonça 1h45, il avait un quart d’heure de retard, le truc qui fou les jetons alors je regarda au bout de l’allée, descendant de mon pied destal mais… ?!


--Camion en vue xD--

Et oui au loin, malgré un quart d’heure de retard, je vis le camion arriver dans la grande allée du haras, je souris toute contente et alla vite chercher le licol et la longe que j’avais oublier dans la salle du club-house. Quand je ressortis, le camion était en train de se garer devant l’entrée. Je sauta quatre à quatre les marches pour rejoindre l’engin. Un jeune homme pas plus âgé que moi en sorti, il était assez mignon mais je ne m’attarda pas sur ce détaille… car l’envie de faire sortir ma jument de là me crevé l’estomac. Il me salua très charmant, s’excusant bien sûr de son retard en jetant un coup d’œil rapide à sa montre.

garçon : désolé du retard, on à eu beaucoup de mal à faire entrer la jument dans le camion !

Je fronça les sourcils, mes visage palis. Pauvre jument , dans quel état j’allais la trouver si jamais elle n’appréciait pas les van ou les camion, sûrement en sueur et complètement hors d’elle. Le jeune homme en voyant mon visage, me rassura sur la seconde.

garçon : oh ne vous inquiétez pas, elle était juste un peu sur les nerfs et assez stressé
Kloub : oui je comprends, et bien ouvrez sil vous plait !
garçon : oui excusez-moi, je vous ouvre!

Le jeune homme s’exécuta rapidement et ouvrit les deux battants lourds du camion. Un bruit sourd et puissant se fit entendre, le souffle saccadé et les yeux remplis d’inquiétude, je trouva une jument très apeuré, crispé et stressé. C’était le bazar complet dans le camion. Je fis signe au jeune chauffeur de rester en retrait, j’allais la chercher seule. Je m’avança tout doucement vers elle, ouvrant rapidement les fenêtres fermés pour que le jours rentre mieux et qu’elle puisse mieux me voir sans s’affoler. Une fois à bonne distance, je tendis ma main vers elle. Elle recula de quelques pas puis, voyant que je ne bougeais pas, elle s’avança, tendant curieusement ses naseaux qui soufflaient bruillament vers ma main tendus ouverte. Ses oreilles assez tendues vers l’arrière se pointèrent vers moi. Elle sentit mon odeur et sembla apprécia, ses oreilles se levait, s’abaissait, signe d’inquiétude. Je m’avança encore un peu, attrapant délicatement son licol avec ma main gauche et marchant un peu plus vers elle,je caressa sa douce encolure gris en sueur avec ma main droite. Je lui caressa le chanfrein et l’apaisa en lui parlant.

« N’aie pas peur, tout doucement, je ne te veux aucuns mal ma belle »

Je lui enfila un nouveau licol et une longe neuve et je la sortit en faisant attention à une quelconque réaction inattendue. Mais tout compte fait, elle sortie rapidement du camion, pressé de sentir à nouveau l’air frais. Elle était tout de même sur ses gardes. Je salua le chauffard qui referma derrière la jument puis il me présenta quelques papiers pour l’achat de la jument, obligatoire dès son arrivée ici, il fallait que le propriétaire signe et aussi la directrice du haras donc Caro. Je lui montra du doigt son bureau puis je m’éloigna de l’engin avec la jument en main. J’allais d’abord la mettre au box pour la panser et après je lui ferait faire un petit tours dans le haras pour lui montrer les alentours. Son box se trouvait avec vue sur les prés. Elle était très curieuse et sentait chaque choses qu’elle voyait. Je la laissait faire pour qu’elle apprenne et s’habitue. Je flattais son encolure qui tressaillait au contact de ma main, elle était toujours un peu inquiéte mais elle arrivait à se décontracter tout doucement. Je la mena donc dans son box avec précaution.


--Arrivée au box--

Quand je la fis entrer dans son box, la petite jument grise se figea à l’entrée. Elle pris le temps d’examiner les lieux, sentant le sol. Je l’encouragea et resta patiente. Je ne pouvais pas tout lui demander dans la même journée. Au bout de 10 minutes, je pus enfin la faire entrer. Je la caressa et lui offrit sa première gourmandise au haras : un petit bonbon à la pomme. Elle le pris et le mangea d’un trait. Je caressa sa longue encolure grise.

« faut plus être inquiète ma grande, ici t’es en sécurité, fais-moi confiance »

Je caressa ses naseaux, lui collant un gros bisous dessus. Elle fut très surprise mais se laissa câliner avec soins. Je pris ma boîte de pansage et la lui fit sentir pour qu’elle familiarise avec l’objet qu’elle verrait sûrement tous les jours. Elle pointa ses oreilles en direction des brosses quand j’ouvris ma mallette, elle fit un petit écart mais se laissa panser sans problème.

« voilà, c’est bien, reste calme, ça ne vas pas te manger, ne t’inquiète pas ! »

Je passa d’abord l’étrille en passant avec de grands gestes concentriques pour ramener la poussière au dessus du poil. Elle resta calme mais très attentive aux moindres de mes gestes, prête à agir au cas où. L’étrille ne lui fit pas vraiment d’effet mais ne la dérangea pas pour autant, je la caressa, la assurant au maximum pour qu’elle se sente à l’aise ce qui n’était pas très facile. Là je me re posa la question comme quand j’étais dans le club.

« Quel nom je vais bien pouvoir te donner ma belle ?! j’ai plusieurs idées mais je n’arrive pas à me décider ! »

Je réfléchis longuement sur la question tout en la bouchonnant rapidement mais efficacement, là, elle eut une légère réactions relaxante qui me soulagea. Puis au contact de la brosse douce, elle y fus très sensible et apprécia grandement l’effet doux prodigué par la brosse sur sa robe et ses membres. Je passa bien partout pour retirer la poussière et un peu de sueur. Une fois le pansage de sa robe terminer, je brossa un peu sa tête, elle eut une réactions normale et leva haut la tête car elle ne semblait pas vouloir, je laissa tomber pour aujourd’hui et je pris le cure-pied. Je lui demanda un à un ses sabots. Au début elle fut réticente puis au bout de quelques minutes, se laissa faire. Je peigna longuement sa crinière et sa queue, elle était encore plus belle. Je flatta son encolure pour avoir été calme et je lui refis un bisous.

« voilà t’es toute belle ! maintenant je vais te faire visiter un peu l’endroit histoire de t’habituer ! »


-Visite du haras--

Je la sortie de son box et lui fis d’abord visiter les prés. Elle semblait nerveuse mais tout de même un peu plus décontracter que quand je l’avais trouver au fond du camion. Les vaste étendues verte qu’étaient les pré du haras étaient un immense bonheur ici pour les chevaux. Etang, herbe verte, coin d’ombre et compagnie étaient l’idéal pour un bon repos ou état à la liberté. Ma nouvelle jument huma l’air frais et en apercevant des chevaux au loin, elle hennit joyeusement, me devançant, se collant à la clôture en bois du pré. Quelques têtes de juments se levèrent mais furent désintéresser. Pour ne pas la décourager ou vexer, je l’éloigna et lui fit découvrir les écuries en commençant par les hongres et étalon.

« ici, je ne t’y emmènerais qu’une fois, qu’aujourd’hui, tu risquerais de trop les excité à force de passer. »

En effet, quelques étalons sortirent leurs tête par la porte de leurs box, ayant sentis une présence féminine. La jument commençait à s’excitait et n’appréciait pas vraiment que tous les étalons s’enragent et hennisse. Alors je pressa le pas, la rassurant en la caressant doucement. Je décida que c’était tout pour aujourd’hui, elle devait se reposer. Je la reconduisis très vite et au passage je pris dans le garde-manger un seau d’avoine et de granulé pour la ration du soir.


--Remise au box--

Je la remis avec précaution dans son box, elle en fut assez ravie. J’alla remplir dans le fond sa mangeoire et vérifia l’état de son eau. Je lui fis encore quelque câlins puis je ferma la porte de son box, m’accoudant dessus pour la regarder manger. Je lui fis un dernier bisous et m’éclypsa.

« repose-toi bien ma beauté ! J’espère que je t’aurais trouvé un nom demain ! »

Super kloub!! Bien détaillé et tout et tout !! Bonne présentation, long et décrit .

Note : 19/20 !!